Ah ce que ce commentaire a fait jaser sur Facebook! Bien sûr je l’ai fait exprès. Je me demandais juste si une des principales intéressées allait deviner que je parlais d’elle. Il semble bien que oui si j’en crois les derniers commentaires.
Non je ne suis pas tombé amoureux. J’ai fait une croix sur l’amour depuis longtemps… m’enfin, pour aujourd’hui ce n’est pas tout à fait vrai. Je suis tombé amoureux d’une voix, une des deux nouvelles femmes de ma vie. Son nom: Rumer. J’ai publié un billet sur Le Globe à son sujet. Je vous y invite. S’il est possible de tomber amoureux d’une voix, c’est bien avec celle-là. J’ai écouté l’album « Seasons of My Soul » en boucle toute la journée ou presque et je ne me suis pas lassé.
L’autre femme qui est entrée dans ma vie, c’est Nadia. Une nouvelle amie qui a croisé ma route sur Facebook, j’en suis d’ailleurs fort heureux. Nadia est auteure… ou dit-on écrivaine? Pour moi c’est pareil. Ce matin, je suis donc allé la chercher et je l’ai placée sur ma table de chevet. Mais non, mais non! Pas elle! Son dernier roman, « L’amour n’est rien ». Quelque chose a touché une corde sensible quand j’ai lu le résumé de ce livre.
Une rencontre, un jour, vient illuminer tous les autres. L’amour est tout ce dont on a besoin pour être heureux, pour flotter sur un nuage de bonheur, pour oublier les blessures et les carences du passé. Mais l’amour arrive-t-il toujours au bon moment ? Les plus belles passions sont-elles vouées à s’éteindre dans ces aléas du quotidien qui semblent avoir raison de tout, même des amours les plus sincères?
L’amour n’est rien est l’histoire d’un deuil amoureux, avec tout ce que cela comporte de déchirements entre les souvenirs heureux et les détresses du coeur.
J’ai vraiment hâte de lire le roman d’une personne avec qui j’échange à l’occasion. Quelque part je me sens vraiment honoré d’être un ami de Nadia. Je me demande si ça va teinter ma perception de l’histoire.
L’Amour n’est rien de Nadia Gosselin
Alors j’ai dit la vérité. J’aurais ces deux femmes dans mon lit ce soir! Mon lecteur MP3 me bercera de la voix de Rumer alors que je commencerai la lecture de « L’amour n’est rien ».
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Alors que j’écris ce billet je ne peux que revenir sur Rumer. Il n’y a pas que sa voix qui a touché la cible. Les paroles des chansons ont également touché une corde particulièrement sensible:
When I was hiding from the storms
You heard me calling cout
Where were you?
With every demon on the road
You heard me crying out
Where were you?
You know I’ve searched the stars
I don’t know where you are
De « On My Way Home »
Carry me over
If you’re a healer
Cause I don’t know how long
I’m gonna be here
Tear me down
Could you save my soul
Give me a reason to carry on
De: « Healer »
La musique de Rumer, pendant un moment, m’a fait croire qu’un jour les démons vont quitter et qu’il y a encore une place pour l’amour… belle illusion? Seul l’avenir le dira. En attendant je me laisse bercer.